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Cathar Castles from Montaillou
Cet itinéraire a été créé par:
RouteXpert Jan Koelstra (jan cabrio)
Dernière modification: 28-03-2025
Résumé de l'itinéraire
La route des Châteaux Cathares au départ de Montaillou s'étend sur près de 200 km et permet de découvrir quelques-uns des plus beaux châteaux cathares.
C'est la route du sud appartenant à un ensemble de trois circuits à travers le pays cathare.

Compte tenu de la position stratégique des forteresses, vous pouvez vous attendre à de nombreux virages en épingle à cheveux. Une fois arrivé aux châteaux, il faut souvent faire face à une sacrée montée. Apportez de bonnes chaussures de marche pour cette excursion. Prenez votre temps pour cette balade qui vous emmène à travers les collines de la Montagne Noire en passant par les Corbières jusqu'aux Pyrénées.

L'itinéraire est récompensé de 5 étoiles car vous ne vous lasserez jamais de regarder la route, le terrain accidenté, les châteaux ou ce qu'il en reste et les montagnes.

Dossier spécial
Conseil de lecture : La bande dessinée "Le dernier cathare" d'Eric Lambert, Arnaud Delalande et Bruno Pradelle, aux éditions Glénat. (dernier lien dans la revue)
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Verdict
Durée
7h 24m
Mode de déplacement
Voiture ou moto
Distance
177.22 km
Pays
Pays Cathare
RouteXpert Review
Les Cathares ou Albigeois étaient un mouvement religieux qui comptait de nombreux adeptes aux XIIe et XIIIe siècles dans l'ouest du Languedoc, dans ce qu'on appelle aujourd'hui aussi le pays cathare : la région autour de Carcassonne. Selon les Cathares, Satan était tout-puissant sur terre et seule l’inspiration spirituelle du Saint-Esprit conduisait au salut. Pour les dirigeants de l’Église catholique, il s’agissait d’une hérésie, d’une déviation illégale de ce qu’ils considéraient comme la doctrine correcte, qui devait être littéralement combattue par le feu et l’épée. C'est ce qui s'est produit lors des croisades contre les Albigeois.
De nombreux livres ont été écrits sur ce mouvement. Il existe également une bande dessinée publiée à ce sujet dans la tradition belge.

Ce circuit, le plus méridional des trois itinéraires à travers le pays cathare, démarre à Montaillou et se termine à Tautavel.
Montaillou, avec ses ruines de château, est un village devenu mondialement célèbre il y a près de trente ans et qui a donné aux Cathares un statut de culte. Merci à l'historien français Emmanuel Le Roy Ladurie qui, avec l'aide des archives de l'Inquisition, a ressuscité un village hérétique (lire cathare) dans les Pyrénées 1294-1324. Il décrit l'histoire complète de ce village : la vie du berceau à la tombe, la lutte pour joindre les deux bouts, la parenté et les querelles, la décence et le crime, la magie et la recherche du salut, le folklore, les mythes et le royaume des ombres. Tout cela dans le contexte de l'Inquisition, qui, au début du XIVe siècle, soumet le village de montagne isolé au pied des Pyrénées à une enquête approfondie. Montaillou ne comptait pas plus de 250 habitants environ, principalement des agriculteurs et des bergers. Jacques Fournier, l'ambitieux évêque de Pamiers qui parvint même plus tard à rencontrer le pape Benoît XII à Avignon, mena l'enquête. Aucun hérétique n'était à l'abri de ce Maigret médiéval, qui faisait dire à ses victimes plus qu'elles ne voulaient dire. Il a dévoilé tous les secrets du village, tout a été noté : la vie intime du berger et flibustier Pierre Maury, la vie amoureuse débridée du curé du village sans scrupules, hérétique et délateur à la fois, la passion hautement inflammable de la châtelaine Béatrice de Planissoles.
L'histoire de ce passé lointain appelle une visite aux vestiges du château féodal où l'esprit des Cathares hante encore. A cette époque, le village était plus haut sur la pente et plus proche du château, dont il reste encore les souches de trois murs. Pratiquement rien de ce village surélevé n'a été préservé, à l'exception des fondations. Mais le Fontcanal, principale source d'eau du Montaillou médiéval, fonctionne toujours. Depuis le Fontcanal, situé à proximité des ruines du château, vous avez la meilleure vue sur l'actuel Montaillou.

Le prochain village sur votre itinéraire est Camurac. Durant les mois d'hiver, elle est connue comme une station de sports d'hiver avec des possibilités de ski : Pyrénées Audoises. Vous empruntez une route sinueuse jusqu'au village de Belcaire pour faire le plein. D'Espezel, elle se dirige vers le nord jusqu'au hameau de Lescale.
Une grande partie des maisons de Lescale fut incendiée par les Allemands le 9 août 1944 en représailles aux actions du maquis de Picaussel contre la 11e Panzer Division le 6 août 1944. Le hameau fut alors reconstruit. Un mémorial maintient vivant le souvenir de cet incident. Après avoir dépassé l'église, l'itinéraire se dirige maintenant vers Puivert.

Puivert avec son château est une autre étape du Chemin des Cathares. C'est un château à part parmi les châteaux cathares : avec sa construction magnifiquement symétrique, il n'a pas l'inaccessibilité des autres forteresses. L'accès est assez facile, pas d'escalade pénible ici. Le château est aujourd'hui une propriété privée et très populaire auprès des réalisateurs de cinéma. Les premières traces de Puivert apparaissent vers 1170. Lorsque la croisade contre les Cathares éclate en 1209, Gailhard de Congost est seigneur du château. Sa famille n’a jamais caché sa sympathie pour les Cathares. En 1209, le château fut pris par les troupes de Simon de Montfort après un siège qui ne dura que trois jours. Au cours des siècles suivants, le château passa aux mains de la noblesse, mais après la Révolution française, Puivert fut définitivement abandonné.
Le pont d'accès et la herse de la tour massive de la porte ne sont pas authentiques. L'immense cour de 80 mètres sur 30 date du début du XIVe siècle. Derrière le donjon massif se trouvent des vestiges de l'ancien château (datant d'avant le XIIIe siècle). Cette « tour résidentielle » de 15 mètres sur 15 mesure 32 mètres de haut. Au dessus du portail d'entrée on peut voir les armoiries de Thomas de Bruyères et d'Isabelle de Melun (ils se marièrent en 1310). Le donjon, très bien conservé, comporte quatre étages, chacun comportant une pièce. Les deux premiers valent particulièrement le détour. Au troisième niveau vous trouverez la chapelle (avec de beaux fonts baptismaux) et au niveau le plus élevé la célèbre "salle des musiciens" avec huit sculptures de musiciens avec leurs instruments de musique. C'est en partie à cause de cette salle qu'est née la légende selon laquelle Puivert était un lieu de rendez-vous important pour les troubadours au XIIe siècle, qu'il s'agissait bien plus d'une « cour d'amour » que d'une forteresse militaire. Un étage plus haut, vous vous retrouverez sur le toit du donjon, d'où vous pourrez profiter d'une belle vue sur le Quercorb. Vous pouvez voir le village de Puivert avec un petit lac et un petit aéroport dans une vallée en forme de cuvette.

A Quillan, vieille ville provinciale de près de 4 000 habitants où le café vous attend, vous atteignez les hauteurs de la vallée de l'Aude. Vous quittez désormais définitivement les contreforts des Pyrénées et entrez dans l'ambiance méditerranéenne.
Le château, situé sur la rive est de l'Aude, date du XIIe siècle, appartenait à l'archevêque de Narbonne et fut construit selon les idées militaires de l'époque. Le bâtiment a une superficie de 30 mètres carrés avec des tourelles d'angle en saillie, un donjon et une porte d'entrée et un pont-levis. Depuis le château de Quillan, des batailles furent livrées contre les Cathares. D'ici, vous avez une belle vue sur la ville et les montagnes environnantes. En contrebas se trouvent le vieux pont sur l'Aude et la place de la République, située au centre. De plus, dans la vieille ville avec ses nombreuses ruelles étroites, vous trouverez également l'église Notre-Dame, construite dans le style roman au 12ème siècle.

A quelques kilomètres au sud de Quillan, vous tombez sur une barrière sur la route ; Les gorges de la Pierre-Lys, longues de 4 km, creusées par l'Aude, étaient jusqu'en 1820 une barrière naturelle infranchissable. Juste à l'entrée des gorges, un énorme rocher barrait le passage et il fallait emprunter des sentiers de randonnée pour le contourner. En 1820, l'abbé Félix Armand, curé de Saint-Martin-de-Lys, et ses paroissiens creusent à la pioche un passage pour suivre la rivière, un sentier très étroit, presque suspendu au bord du vide. En hommage au Père Armand, le passage est encore aujourd'hui appelé « le Trou du Curé ».

Vous faites un petit détour par le Château de Puilaurens. Le château a été construit en 1229 sur l'emplacement d'une église fortifiée qui se trouvait probablement là autrefois. Un petit village s'est également développé autour. En 1245 et 1246, des cathares cherchèrent refuge ici pendant les croisades contre cette foi, selon l'Église catholique romaine, hérétique. Cependant, le château ne fut pas assiégé lors de ces croisades et passa aux mains de l'État français vers 1250. Il utilisa le château comme ligne de défense contre l'Aragon, ancien comté de l'Espagne actuelle.
Le traité des Pyrénées de 1659 déplace la frontière vers le sud, jusqu'à la frontière naturelle des Pyrénées. En conséquence, le château perdit de son importance et tomba progressivement en ruine. Cependant, il n'a jamais été pillé à grande échelle, de sorte qu'une grande partie du château d'origine est encore debout aujourd'hui.
Vous pouvez visiter le château tous les jours de fin mars à mi-novembre (payant). Depuis le parking, vous montez les dernières dizaines de mètres en direction des anciens remparts. La dernière partie serpente vers le haut, vous offrant une bonne vue sur les lignes de défense du château. En entrant dans le parc du château, vous trouverez les parties les plus intactes sur votre gauche. Sur la droite se trouve une grande plaine, où autrefois se trouvaient toutes sortes de bâtiments (probablement principalement en bois). À l'extrême droite, vous trouverez un passage d'où vous aurez une large vue sur les environs et pourrez découvrir pourquoi le château a été construit à cet endroit. Vous pouvez garder un œil attentif sur qui voyage dans la zone de tous les côtés.

Caudiès-de-Fenouillèdes doit son nom aux Cauderiae romaines, une villa romaine qui se trouvait autrefois à cet endroit. Il y avait peut-être déjà des habitations à l'époque préhistorique. Dès 852, le nom est mentionné comme un lieu situé sur le cours supérieur de la vallée de la Boulzane. C'est une vieille ville avec des portes anciennes, une place de la Mairie bordée de platanes ombragés et quelques maisons à colombages. La façade de l'hôtel de ville présente encore l'ancienne pierre de façade aux armes des Caudiés, un chaudron en cuivre, d'avant la Révolution. Une église paroissiale du XVIIe siècle ne manque pas non plus.

A proximité immédiate de Fenouillet se trouve le château du XIe siècle qui appartenait aux Vicomtes de Fenouillet et qui jouait un rôle stratégique pour les gorges étroites, humides et luxuriantes de Saint-Jaume et les anciennes routes de liaison. Après la croisade des Albigeois (1258), la situation changea et en 1595, elle fut incendiée sur ordre du duc de Ventadour. Il ne reste que la ruine du château de Fenouillet.

La section suivante traverse les étroites gorges de Galamus. C'est vraiment impressionnant ! La rivière Agly a creusé ici une gorge profonde dans les rochers. A une centaine de mètres au-dessus de la rivière, que l'on entend mais que l'on ne voit généralement pas, la route étroite s'accroche à la roche : virages, rochers en surplomb et tunnels se succèdent. Au fond, il y a une série de cascades et de petites piscines aux eaux cristallines. L'Aigly serpente à travers les Gorges de Galamus jusqu'à la large vallée du Fenouillèdes. Vous passez devant l'Ermitage de St. Antoine, collé au flanc d'un ravin, un nid d'ermite qui renforce le sentiment de solitude dans une gorge où l'on semble s'enliser en tant que cavalier. Cet ermitage est niché à plusieurs mètres au-dessus du fond rocheux de la gorge, caché sous un rocher en surplomb. C'est encore une oasis de silence, bien au-dessus des eaux blanches de l'Agly. L'Ermitage date du VIIe siècle, mais des ermites y ont vécu jusqu'en 1950. Une visite de la remarquable chapelle troglodyte et de la grotte supérieure qui a servi de résidence aux ermites pendant des siècles vaut la peine.

Vous suivez l'Agly en amont entre les crêtes calcaires. La roche au fond de la gorge est recouverte d'une couche jaune de calcaire par l'eau très calcaire. Le Chemin des Cathares traverse un terrain accidenté de formations calcaires, de maquis, de broussailles denses qui peuvent pousser en hauteur sur le versant nord des pentes, et de garrigues, un paysage beaucoup plus ouvert en raison du pâturage et ressemblant à un jardin d'herbes aromatiques sans clôtures. Un mélange parfumé d'herbes, de plantes et d'arbres dans une nature qui semble pure jusqu'à ce qu'une lueur bleue vienne perturber l'idylle : la bouillie bordelaise ou vitriol de cuivre avec de la chaux éteinte, l'un des premiers pesticides chimiques du XIXe siècle utilisé pour pulvériser les vignes contre les maladies parasitaires. Un salut de la région viticole des Corbières et du Languedoc.

Vous passez devant la Bergerie de Bugamus et bénéficiez d'une vue sur l'imposant Château de Peyrepertuse. Peyrepertuse est l'un des plus beaux châteaux cathares de la région, situé sur une étroite corniche rocheuse dominant les Corbières. Aussi imprenables que ces châteaux puissent paraître, ils ne faisaient pas le poids face aux tactiques de famine du roi de France. Malgré sa taille et son emplacement, le château joua un rôle mineur lors de la croisade contre les Albigeois. Guillaume de Peyrepertuse se soumit à Simon de Montfort en 1217. Le château passa au roi d'Aragon en 1226. En novembre 1240, le château de Peyrepertuse tomba aux mains des Français après un siège de seulement trois jours, car il n'y avait presque plus de vivres dans le château. Le château dut supporter peu de choses au cours des siècles suivants et tomba en ruine après la Révolution française.

Depuis l'imposant Château de Peyrepertuse, vous descendez jusqu'au village de Duilhac, où l'eau de source coule en grande quantité des rochers au milieu du village. Elle possède une église romane du XIVe siècle. Ensuite, vous roulez jusqu'à Cucugnan. Ce beau village viticole est devenu « mondialement célèbre » grâce à l'écrivain français Alphonse Daudet et son recueil de nouvelles « Lettres de mon moulin ». L'une de ces histoires s'appelle « Le curé de Cucugnan » et décrit comment le Père Martin a ramené les habitants de Cucugnan dans son église. Dans un sermon tonitruant, il raconta comment, en rêve, il visita le ciel, le purgatoire et l'enfer et... en effet, toute la population de Cucugnan était en enfer ! Le sermon eut un tel impact que Cucugnan devint instantanément le village le plus pieux de France.

Vous quittez le village viticole de Cucugnan, avec son centre pittoresque, en direction du sud-est et avez immédiatement le Château de Queribus, comme presque tous les autres châteaux cathares que nous avons rencontrés en chemin, bien en vue. Le château domine de façon menaçante les vignobles des Hautes-Corbières, formant une extension de la crête calcaire longue de plusieurs kilomètres sur laquelle il est construit. Par la crête nord, on accède à la robuste forteresse qui, avec son imposant donjon, fut la dernière place forte des Cathares, tombés en 1255. Dans ce donjon se trouve la célèbre « salle gothique », où une colonne ronde soutient une voûte formée de quatre arcs, tous de tailles différentes : la colonne n'est pas au centre.
On sait peu de choses sur le siège lui-même du château de Quéribus. Il n’y a pas de chroniques qui en parlent. Il existe une correspondance limitée entre le roi de France et ses commandants locaux, mais elle est en grande partie non datée et donc difficile à situer chronologiquement. L'acte de reddition est daté de mai 1255. Chabert de Barbaira, apparemment capturé, cède le château avec toutes ses dépendances au roi de France. Ici, pas de siège épuisant, ni de bûcher funéraire : les Cathares étaient parvenus à temps à se mettre en sécurité depuis la dernière « forteresse cathare » restante. La lutte militaire contre les Cathares et leurs protecteurs était ainsi définitivement terminée.
L'emplacement est stratégiquement fort. Du château à 728 mètres d'altitude, vous avez une vue magnifique qui s'étend de Cucugnan à la plaine du Roussillon, avec la ville de Perpignan au centre et la mer Méditerranée bleue à l'horizon à l'est, à 34 kilomètres. En contrebas, au sud, entre deux crêtes calcaires allongées, s'étend la large vallée du Fenouillèdes avec le Pic du Canigou (2724 m) à 38 kilomètres au loin.

Depuis le château de Quéribus, vous descendez sur la crête calcaire longue de plusieurs kilomètres jusqu'au village de Padern, qui se trouve comme une petite oasis dans la terre sèche des Corbières. Padern est situé au pied de la Montagne de Tauch, là où la rivière Torgan rencontre le Verdouble. Ici aussi, au-dessus du village s'élèvent les ruines d'un château qui appartint à l'Abbaye de Lagrasse du IXe siècle à 1579 et qui fut un point de discorde entre Alain de Roucy, seigneur de Termes, et l'Abbaye de Lagrasse lors de la croisade des Albigeois. À travers les vignes et sous les coteaux dénudés, vous vous dirigez vers Tuchan, l'un des villages viticoles caractéristiques des Corbières au fort caractère méditerranéen. C'est l'un des neuf villages d'où provient le vin de Fitou, mais où est également produit le vin doux Muscat de Rivesaltes.

Le village de Tuchan doit son nom aux nombreux ifs (en occitan 'touch' signifie if), qui recouvraient autrefois le Mont Tauch (917 m). Il n'en reste plus que quelques-uns. Sur ce Mont Tauch se dresse la Tour des Géographes, construite en 1791 par un groupe d'astronomes. Des projets sont actuellement en cours d’élaboration dans cette région pour créer un parc éolien.
Mais Tuchan est surtout connu pour le Château Aguilar, stratégiquement situé sur une colline surplombant l'entrée des Corbières. C'est un court trajet en voiture à travers les vignobles jusqu'aux ruines du château. Le château est mentionné dès 1020 et était alors propriété du comte de Fonollède. Dans la seconde moitié du XIIe siècle, il passa aux mains de la famille de Termes. Lors de la croisade des Albigeois en 1210, elle fut occupée par Simon de Montfort, qui captura Raymond de Termes et le fit tuer à Carcassonne. Le Château Aguilar fut un refuge pour les Cathares pendant une courte période, mais ne joua aucun rôle militaire significatif pendant la Croisade contre les Cathares.

C'est en fait ici que se termine cette route cathare du sud. De là, vous continuez jusqu'à votre destination finale Tautavel où il existe des options pour séjourner avec une collation, une boisson et même un lit.


château de Puivert
château de Puilaurens
Liens
the Cathars in the South of France
Cathar Castles
Gorges de Calamus
The priest's hole and its legend
strip story 'the last Cathar'
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Occitanie
À propos de cette région
L'Occitanie (en occitan : Occitània /utsiˈtanjɔ/, en catalan : Occitània /uksiˈtaniə/) est une région administrative du Sud-Ouest et Sud-est de la France résultant de la fusion des anciennes régions Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées. Créée par la réforme territoriale de 2014, elle comporte 13 départements. Son chef-lieu est Toulouse.
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25 Sentiers magnifiques en France
Cette collection d'itinéraires MRA contient 25 magnifiques itinéraires à moto dans différentes régions de France, telles que les Ardennes, l'Alsace, le Vercors, la Drôme, l'Ardèche, la Côte d'Azur, les Gorges du Verdon, l'Ariège, la Dordogne et la Bretagne.

Les itinéraires ont été soigneusement créés par Bert Loorbach, qui est lui-même un motard passionné. Il a vécu en France pendant un an et demi, période pendant laquelle il s'est consacré à cartographier les petites routes méconnues et magnifiques de France en particulier pour les motards.

Les itinéraires sont regroupés dans la partie 1 de Motortourgids France de la maison d'édition Kosmos et désormais également disponibles dans MyRouteApp.

J'ai repris les itinéraires dans MRA et les ai parfois légèrement ajustés pour les rendre encore plus intéressants pour le motard.

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25 Routes
4106.1 km
106h 0m
24 Sentiers magnifiques en France
Il est clair que la France est l'un des pays les plus beaux et les plus en tournée. Elle offre un paysage incroyablement varié avec de bonnes routes et un climat agréable. Ce n'est pas pour rien qu'on y voit autant de motards. Ma précédente collection de 25 itinéraires en France (25 magnifiques itinéraires en France) était basée sur les descriptions d'itinéraires de la partie 1 de Motortourgids France réalisée par Bert Loorbach.

Cette collection de 24 itinéraires provient de Motortourgids France partie 2. Dans cette collection, une différence a été faite entre les itinéraires d'approche et les circuits à moto dans une certaine zone. Les itinéraires d'approche peuvent également être utilisés en combinaison avec les itinéraires de Motortourgids France partie 1

Les parcours sont parfois légèrement adaptés en fonction des conseils que donne Bert Loorbach dans sa description, ou en raison d'un autre endroit pour passer la nuit, ou pour atteindre la durée minimale de 2 heures pour la Bibliothèque MRA. Pour chaque itinéraire, l'avis contient une description plus détaillée, y compris des options pour passer la nuit ou des lieux d'intérêt en cours de route, qui sont également indiqués avec un POI et si possible avec une brève description.

Deux ou plusieurs itinéraires ont été créés pour plusieurs régions, comme la Bourgogne, l'Auvergne, les Alpes, le Tarn et les Cévennes et le Nord-Pas de Calais. Ces itinéraires peuvent être bien combinés dans un voyage de plusieurs jours.

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24 Routes
4639.75 km
99h 56m
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